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MAUSU - don't cry, snowman, don't you fear the sun

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MessageSujet: MAUSU - don't cry, snowman, don't you fear the sun
Mausu Yamageshi
NOM : Yamageshi PRÉNOM(S) : Mausu ÂGE : 17 ans  (23/10) LIEU DE NAISSANCE : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. ORIGINES : Japonnaise et réunionnaiseSTATUT CIVIL : Célibataire ORIENTATION SEXUELLE : HétérosexuelleCLASSE SOCIALE : Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. GROUPE : guêpe (2B) ELITE : [] oui [x] non CRÉDIT AVATAR : oc - samdoesarts
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE : La douceur d’une fleur de coton que l’on aimerait toucher du bout de ses doigts, de s’en emparer dans l’espoir de ne jamais voir se dessécher cette tige arrachée à la racine de ses origines. Cette fleur souriante, qui s’amusait d’un rien que pouvait lui offrir la vie. Le genre de fleur qui quand elle pose un regard sur toi, tu as cette impression d’exister. Ses yeux étaient remplis d’un amour qu’elle distribuait à qui voulait s’approcher d’elle, remplis de rêves inachevés, de mystère. Ce n’était pas le genre de fille à avoir beaucoup d’ami, mais le peu qu’elle avait lui suffisait. Elle était ce rayon du soleil brûlant la peau d’une douceur sans égal. Ce genre de fille qui ne jugeait pas, qui transformait les défauts des autres en qualité. Ce genre de fille qui te faisait te sentir unique, important à ses yeux. Le genre de poupée qui voyait de la beauté en chaque chose l’entourant, en chaque personne. Le monde éveillait sa sensibilité, sa curiosité. Elle voulait comprendre les autres, la vie, mais sans arriver à se comprendre elle-même. Cette fille, elle savait écouter, elle savait réconforter, donnant la force aux autres de se relever par ses mots doux caressant le cœur de quiconque. Elle avait l’air courageuse et elle l’était, donnant l’impression de n’avoir peur de rien et pourtant elle avait peur, peur d’aimer. Elle n’avait pas eu une vie facile, son cœur ayant déjà souffert à diverses reprises d’événements que tout adolescent traverse un jour. Le genre de fille simple à laquelle on voulait s’attacher, cette fille qui vivait entre des murs dorés, dans la luxure d’un mode de vie qui ne faisait pas d’elle une personne capricieuse. Elle était tout ça, jusqu’au jour fatidique où son corps heurta le sol, se brisant en morceau, faisant d’elle une jeune femme qu’un rien effraie. Le chaos de sa peine enfermant son cœur dans un film de cellophane pour le préserver, le préserver du chemin sur lequel elle avait trébuchée contre son gré.  
don't cry, snowman, don't you fear the sun
(c) bird box.

PSEUDO : bambi. PRÉNOM : écrire ici. ÂGE : 23 ans. PAYS : écrire ici. BLABLA :  MAUSU - don't cry, snowman, don't you fear the sun 1956506291 .


Nous n’avons parfois besoin que d’un court instant avant de disparaître, quelques secondes sont suffisantes pour dire un dernier au revoir au monde, il faisait noir, il faisait nuit. Une soirée partant de problème où une envie de se vider la tête, de s’échapper d’une certaine partie de la réalité, on boit un verre, puis deux, puis trois et on ne s’arrête plus. Quatre amis quatre êtres déchaînés sous l’alcool faisant battre votre myocarde malgré votre jeune âge, rentrant de soirée. Ce n’est pas l’alcool qui vous avait manqué mais l’imprudence et conséquences que vous commettiez. Tu étais assise à l’arrière Mausu, supportant les rires et les hurlements semblables à des chants de ton amie la plus chère, à ta droite. Il faisait noir, il faisait gris et c’est alors qu'entre vos rires effrénés, tu as aperçu le soleil, il paraissait si loin et avec un violent coup de volant ton petit-ami du moment, le conducteur, a essayé de l’éviter, mais vous vous êtes touchés, métal heurtant cet astre lumineux, vous vous êtes rentrés dedans et ton souffle s’est coupé de frayeur. Les vitres ont explosé, la portière s’est enfoncée et ta ceinture t’a évité d’être projetée de la voiture alors que ton sang coulait sur l’une de tes côtes. Tu as vu la scène défilée devant tes yeux sans ne rien pouvoir faire, impuissante. Pendant un moment le silence à régnié, il n’y avait que le sifflement du monde qui ne voulait pas quitter tes oreilles, il faisait noir, il faisait gris, il faisait froid. Quand tu rouverts les yeux tu étais allongée sur le sol, éblouie par les gyrophares des véhicules alentours, on venait atour de toi pour te dire que tout allait bien aller et tu les regardais d’un air idiot comme-ci tu te moquais de leurs paroles. Tu as tourné la tête vers le véhicule qui t’est rentré dedans et tu as vu deux jeunes enfants pleurer la misère du monde, leur misère à eux, yeux incapables de se détacher de leurs mains scellées si fortement, un homme à la tête posée sur le volant de sa voiture comme s’il dormait trop profondément pour se réveiller un jour. La peur, c’est ce sentiment qui a traversé ton corps entier en une fraction de seconde, aucun visage ne souriait. Tu entendais des cris, des paroles terrifiantes sortir de la bouche du monde avant que ton corps, incapable d’encaisser plus s’éteint à nouveau contre le goudron humide sous la pluie. Tu t’es endormie sans savoir si un jour tu allais te réveiller à nouveau.

C’est dans ce lit d’hôpital, quatre semaines après que tu t’es réveillé de ce coma, que ton corps s’est réanimé. Tu ne savais pas où tu étais dans l’incapacité de te remémorer de ce fameux soir où l’accident à embrasser vos vies en rependant son poison dans vos veines. Tu te rappelais seulement que tout le monde était agité, que de l’alcool vous avez tous abusés. Une infirmière s’est approchée et t’a demandé si ça allait. Non. Evidement que non. Ta seule réponse étant cette question tournant en boucle dans ton esprit : est-ce que tes amis sont toujours en vie ? Elle a baissé les yeux d’un air attristé elle était vêtue, comme si ça réponse ne pouvait t’être que négative. Et là, elle t’a donné sa réponse, cette réponse que tu attendais tant, trois sur quatre, trois sur quatre dont le cœur bat encore. Ta meilleure amie n’a pas survécu à cet accident, et c’est uniquement sur ce point que ton esprit se focalisa. Vous ne vouliez seulement profiter de votre jeunesse, vous ne désiriez faire aucun mal mais la vie a été injuste avec vous, avec elle. Pourquoi est-ce que tu n’as pas eu le droit au même sort ? Pourquoi elle, Mausu ? Vous étiez jeunes, vous ne saviez pas que ça aurait été votre dernière heure, que ces soirées ne seront plus que du passé, que plus jamais vous ne serez réunis dans cette voiture. L'infirmière reprit la parole, portant un dernier coup de marteau sur ton esprit. Ces deux enfants, cette soirée faisant de deux enfants heureux, des orphelins de leur père pour toujours. En quelques secondes vous avez ruinés cette famille, faisant de leurs sourires un tas de miette du passé. Vous avez fait de leurs souvenirs des ombres à l’agonie.  

Ces épisodes dans ta tête qui se répètent encore et encore, chamboulant en un gigantesque merdier ton esprit. Tu aperçois encore sans cesse une lumière, signifiant les phares de la voiture d’en face. Juste cet éclairage, unique souvenir de cette soirée, regrettée. Cette lumière qui se rapproche petit à petit puis, plus rien, le noir complet. Quand tu fermes les yeux tu revois ce film, qui t’a laissé des traumatismes. Ton avenir ne sera plus jamais comme avant, une seule seconde a détruit ta vie et celle de tes amis, une seconde pour une soirée.  
Le bonheur, c'est de continuer à désirer ce qu'on possède.


physique:

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MAUSU - don't cry, snowman, don't you fear the sun EmptyJeu 18 Mar - 0:09



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