Et si tu avais été quelqu'un d'autre ? Une vulgaire inconnue avec assez de culot pour aborder un bel inconnu de manière très osée. Beaucoup trop pour ce pays si pudique. L'idée te fait doucement sourire, car tu sais qu'il ne lui sourirait pas. Qu'il ne lui répondrait pas comme il t'a répondu. Si tu avais été témoin d'un tel acte, et que tu ne lui portais pas ce même amour que tu ressens pour lui en ce jour, tu aurais ri aux éclats. Mais il n'y a que toi qui a le droit de le toucher de la sorte, de profiter de ce sourire, de cet accueil. Unique. Un sourire sur les lèvres. 《 Il paraît ! 》 Apparence. C'est vrai, tu as tout de la fille parfaite, une jeune femme que bien des adultes accomplis convoitent pour en faire leur bru, à laquelle de jeunes hommes souhaitent passer la bague au doigt. Ton nom est influent. Tu es belle. Tu es intelligente. Tu es douce. Tu attires les gens. Mais tu es tellement plus que ça. Tu n'es pas cette poupée parfaite, un être dépourvu de défauts. Il le sait, Hime. Il a vu des parts de toi que toi-même n'imaginais pas, ne connaissais pas. Et il t'aime, Hime. Tu restes une perfection à ses yeux. Sa perfection. Tu veux le rester. Tu ne veux pas que lui aussi s'en aille.
Vérité. Hier était une journée épuisante à bien des égards. Pourtant, malgré ses paroles, tu te souviens encore de votre soirée. Si la matinée avait été différente, nul doute que votre nuit l'aurait été aussi. Tu hoches la tête. 《 Tant mieux, c'est le plus important. Surtout que ça se voyait que tu étais fatigué... 》 corps légèrement penché, main sur sa joue, ton pouce caresse le dessous de son œil, appuyant tes mots. Geste délicat. Tu ramènes tes mains sur le sol. C'est un peu de ta faute, Hime. Au fond, tu en as conscience. Il y a quelque chose dans l'ange que tu es qui te rend terrible. Culpabilité. Si tu avais été moins sensible... 《 Oh ? Montre-moi ça ! 》 Tu te penches pour venir t'appuyer sur ton petit ami, tête contre la sienne, ta main de retournant discrètement pour venir enlacer vos doigts. Tu observes la photo immortalisant ce merveilleux moment, lorsque le ciel se vêtit de ses plus belles couleurs. Ça peut paraître si idiot et pourtant... À tes yeux, ces fait parti de ses petites choses qui régalent tes yeux et te passionnent, provoque une réaction dans ton cœur que tu ne saurais expliquer. 《 Si j'avais su je me serais réveillée juste pour voir ça. 》 Tu gonfles les joues, boudeuse mais joueuse. Tu espères avoir l'occasion de le voir de tes propres yeux. Peut-être demain ? Pour l'heure, ton cœur loupe un battement et tu te redresses d'un coup, rompant le contact entre toi et ton petit-ami, surprise. Un message de ta mère ? Tu n'étais pas au courant. Tu y repenses... Est-ce que... Hier soir ? Non il avait l'air beaucoup trop troublé. 《 Qu- 》 Pas le temps de finir. Une nouvelle question franchit ses lèvres. Fonder une famille ? Une drôle de sensation commence à traverser ton corps. Tu as chaud, ton cœur bat fort, ton estomac se noue, tu te sens engourdie et ton esprit est en surchauffe. "Qu'est-ce qui lui prend tout à coup ? Pourquoi cette question ? Je suis censée lui répondre ? C'est tôt non ? C'est un piège ? Et si je réponds mal ? Du calme, du calme. C'est sans doute une question posée sur un coup de tête ? Mais qui demande ça sans raisons ?!" Ton regard suit le sien jusqu'à son dessin. Un enfant qui joue dans le sable. Tu ne serais pas un peu rouge, au niveau des joues, par hasard ? C'est parce que tu connais déjà la réponse, Hime. Mais tu sais qu'il est encore trop tôt pour y penser, et encore plus en parler. Pourtant... 《 O-Oui. Il fait déjà chaud. 》 Tu détournes le regard avant de te redresser. C'est la première fois, Hime... Jamais il ne t'a vu ainsi, aussi troublée, rouge. Un instant de silence avant que tes lèvres se séparent. 《 Oui. 》 Pause. 《 Je le veux. 》 Sa question. Tu souhaites quand même lui apporter une réponse, même si elle n'était pas sérieuse, malgré la peur qui te traverse... Celle qu'il s'enfuit, comme nombreux le font quand ce genre de sujet est abordé. Mais une part de toi ne voit pas l'intérêt de mentir, de cacher la vérité. 《 Je veux avoir un homme à enlacer. Je veux le combler. Qu'on rentre le soir et qu'un bon petit repas soit prêt. Et je veux un enfant à cajoler, à éduquer pour en faire quelqu'un que je trouverai aussi incroyable que mon compagnon. 》 Rêveuse. Ça aussi, c'est une part de toi qu'il n'a encore jamais vu. Une famille... Tu en veux une, aussi solide que celle que tu formes avec tes parents, sans pour autant imposer tes choix à ton enfant. Tu veux passer tes nuits dans les bras de celui que tu aimes, t'y sentir en sécurité. Tu ne veux pas forcément de bague au doigt, même si ce serait un plus merveilleux. Mais tu as conscience de l'importance d'un tel rêve. De ce que cela implique. Et tu as conscience que la peur qu'un tel aveux peut engendrer... Alors tu sembles soudainement te réveiller, te tournant vers Aoi, un sourire légèrement nerveux sur les lèvres. 《 Ne fuis pas s'il te plaît ! 》 Joueuse. Désinvolte. Non, c'est juste l'impression que tu souhaites laisser. Tu essaies. Et c'est bien vain. 《 C'est dans le meilleur des mondes ça. J'ai tendance à être un peu trop rêveuse. Disons que je ne serais pas contre, c'est tout, ce n'est pas mon plus grand rêve. 》 Tu hausses les épaules. Vraiment ? Oui et non. Tu veux aimer, Hime. C'est niais mais tu veux un homme à aimer et à combler, et qui en fera tout autant autant toi en retour. Un enfant, c'est... Un second rêve, lié au premier. Une attache, une preuve d'amour, la personnification d'un lien unique... Un être unique. Tu ne l'accorderas qu'à celui avec qui tu voudras faire ta vie, et qui voudras faire sa vie avec toi.
Tu retires ta robe, dévoilant ta peau et ton maillot. Tu attends que ton petit-ami soit également prêt pour lui saisir la main et vous approcher de l'eau. Tu le lâches un instant afin de tremper tes mains dans l'eau et mouiller ton corps, peu désireuse de faire un choc thermique. L'eau est bonne mais évidemment, elle reste assez fraîche tant que vous n'y êtes pas plongés et habitués. Raison de plus pour te lancer. Une fois assez enfoncée, prête, tu immerges la totalité de ton corps, souffles avant de commencer à bouger afin de te réchauffer. Tu es dans ton élément. 《 J'ose espérer que tu sais nager ?! 》 Taquine. Tu l'embêtes déjà. Parce que tu en as envie mais aussi pour oublier ce qu'il s'est passé juste avant...
Coup de crayon. Tu laisses ton empreinte sur cette feuille de papier afin d’exprimer quelque chose d’important. Nostalgie. Ce spectacle te rappelle ton enfance. Un lointain souvenir enfoui au plus profond des tréfonds ton être. Oubli. Tu avais tiré un trait sur cette partie de ton passé laissant derrière toi une partie de ton âme, de ton caractère, de toi tout simplement. Et pourtant, derrière cette carapace de séducteur, de dominant, d’homme au cœur glacé, il y a quelqu’un capable d’aimé à l’infini ! Ton esprit est en désaccord avec ton cœur. Un état que tu n’avais pas ressenti depuis de nombreuses années. Un déclic. Un élément déclencheur. Tu le sais. Tu sais qu’Hime Watanabe est la cause de ce chamboulement. Elle est la lumière qui éclaire ton chemin ténébreux. Unique. Parfaite. Qu’est-ce que la perfection ?! Tu sais que cette expression lui a déclenché certaines pensées… Tu commences à bien la connaître, bien qu’il te reste encore de nombreuses découvertes à son sujet. Pourtant, tu sais qu’elle a pensé à cette image de fille parfaite que tout le monde convoite. Aoi, tu vois quelque chose d’autre en la regardant. Tu vois la maladresse, la sensibilité, son côté sacrificiel dans ses gestes ou ses mots qui ont le don de t’irriter ou de te rendre fou amoureux. Il y a également son côté possessif qui est plus une qualité qu’un défaut à tes yeux… Normal pour un homme de ta trempe. N’oublions pas que tu es quelqu’un de terriblement possessif, surtout envers tes jouets, et maintenant ta bien-aimée. Tu es légèrement dérangé ? Qui sait. A tes yeux, son imperfection représente ta perfection ! Tu l’aimes. Bordel, tu es fou amoureux. Agréable sensation.
Conversation classique. Le genre de mots qui t’auraient donné envie de vomir il y quelque temps, car tu n’es pas ce genre d’homme, car tu n’aimes jamais rester auprès de celles ou de ceux qui partage ton lit la nuit, car il n’y a que toi qui comptes. Les autres ne sont que des jouets. Ils ne représentent rien à tes yeux. Vérité. Mensonge. Malheureusement, il s’agit de la vérité ! Pourtant, il y a deux exceptions. Une fille. Un homme. Ils ont tous les deux unes de places dans ton cœur. Tu n’as jamais trouvé ce genre de propos dérangeant quand il s’agissait de ta petite amie, car son état te préoccupe. Tu veux constamment la chérir… Plus les jours passent et plus tu le réalises. D’ailleurs, elle t’avoue que tu avais une mine fatiguée. Souvenir abominable remontant à la surface. Rappel des propos de Taiga à propos de ta fleur favorite, de toi et de vous deux alors qu’elle caresse tendrement ton visage. Elle raconte la vérité. Tu as passé tes nuits dans la crainte de la perdre, de ressasser encore et encore les mots de ton soi-disant ami, de te remémorer les bons et les mauvais moments passés avec ces deux êtres complètement différents. L’un dévoile ton côté obscur et l’autre révèle la lumière de ton cœur. Comment choisir ? Tu l’adores. Tu l’aimes. Ils sont tous les deux une part de toi. Pourtant, le choix a été terriblement facile ! Elle a besoin de toi. Tu as besoin d’elle. Tu es le seul à pouvoir panser ses blessures et lui démontrer qu’il est possible d’aimer plus d’une fois d’un amour inconditionnel. C’est assez ironique venant de toi. Toi, le séducteur inatteignable. Faux. Lorsque tu étais encore petit, il y avait cette fille qui représentait tout à tes yeux. Promesse d’un cœur scellé. Promesse d’un amour retrouvé. Abandon. Malgré tout, tu portes encore ce collier autour du cou. Puis Taiga à pointé le bout de son nez. Un lien particulier vous lie. Tu l’adores. Il est tout à tes yeux. Un amour inavoué ? Réponse interdite. Finalement, c’est une brune aux yeux bleus qui a réussi à s’emparer de toi, de ton cœur scellé ! Lien unique. Lien indescriptible. Confiance absolue. Tu arrives à lui montrer des parts de toi que tu avais oubliés, que tu caches aux restes du monde.
Rapprochement. Elle vient observer la photo du lever de soleil. Tu souris bêtement en écoutant sa voix, car son côté boudeur te fait craquer. Tu laisses échapper un petit rire avant que la réalité ne te rattrape. Tu penses d’abord à la mère d’Hime. Idiot. Tu as oublié de lui répondre. Puis, tu te souviens de ses propos. Pensif. Tu dérapes. Tu poses une question qui n’aurait jamais dû voir le jour ci-tôt. Erreur. Est-ce qu’elle voudrait fonder une famille ?! Putain, mais qu’est-ce qui t’a pris ? Tu n’en sais rien. Émotion. Gêne. Tu réalises dans quel pétrin tu viens de te mettre en te cachant littéralement derrière ton dessin. Un geste mignon et bien loin de ton côté dominant. La panique s’empare de ton être alors que tu trouves une parade, une fuite, celle d’aller se baigner. Tu commences à ranger tes affaires quand ton regard se pose sur la demoiselle à tes côtés. Tes yeux surpris décryptent à la perfection ses émotions. Elle est troublée et le rouge sur son visage te le prouve. Pause. Oui ? Ton cœur loupe un battement alors qu’elle enchaîne sur la suite de sa phrase. Non. Elle parlait d’aller à l’eau pour se rafraîchir. Elle détourne le regard. Tu commences à te redresser en pensant avoir réussi à éviter le sujet. Le stress commençait à redescendre et finalement, elle prononce de nouveaux mots qui te figent sur place. Oui ! Je le veux ! Tu es sous le choc. Tu comprends à cet instant précis que tu ne pourras pas fuir. Imbécile ! C’est toi qui t’es foutu dans la merde… Rire intérieur. L’angoisse pointe le bout de son nez et pourtant, tu sembles réussir à cacher cette vérité. Un visage indescriptible, car il mélange beaucoup trop d’émotions. En plus, elle insiste en t’expliquant sa vision. Une projection dans le futur qui t’effraye à moitié. Tu désires une partie. Tu es comme paralysé. Tu n’arrives pas à prononcer le moindre mot, le moindre son…
Tu découvres son rêve de devenir mère. Elle désire un enfant à cajoler, à éduquer et qui ressemble à son compagnon. Flash d’une famille aimante. Pensée négative. Flash de ton père te fouettant avec sa ceinture en cuir. Tu te rappelles encore de la douleur. Tu te souviens de ses mots, de cette voix terrifiante. Il était le diable. Il est un monstre à tes yeux. Tu es un monstre. Tu ne veux pas qu’il te ressemble. Quand est-ce que tu arrêteras de t’en vouloir, de te considérer comme le fautif ? Un jour. Diverses questions te traversent l’esprit. Est-ce que tu seras un bon père ? Est-ce que tu seras capable de ne pas reproduire les erreurs de ton défunt paternel ? (Il est mort à tes yeux, bien qu’il soit encore en vie !) Est-ce que cet enfant t’aimera ? Il faudrait peut-être d’abord se demander si tu veux un enfant ?! Respiration lente. Ton cœur est sur le point d’exploser. Ton esprit divague l’espace de quelques secondes. Tu veux fuir ? Non. D’ailleurs, elle y pense. Tu la regardes dans les yeux alors qu’elle te supplie de ne pas partir. Elle est inquiète. Tu rigoles. Trop de stress. Trop d’angoisse. Tes nerfs ont cédé. Puis, elle se contredit pour ne pas que tu prennes la fuite. Elle ne veut pas risquer de te perdre. Tu comprends à cet instant précis qu’il s’agit d’un rêve qu’elle souhaite concrétiser. Tu mordilles ta lèvre.
« Euh… » Quoi dire ? Quoi faire ? Tu es complétement perdu. Tu aurais mieux fait de réfléchir avant de poser ce genre de question. C’était une véritable bombe émotionnelle. Tu toussotes en détournant le regard. « Tu sais, moi, j’adore ton côté rêveur… » Est-ce que cette réponse est nulle ? Tu n’en sais rien, mais ce sont les seuls mots que tu as réussi à prononcer. Ils sont sincères. Putain ! Putain ! Putain ! Est-ce qu’elle va penser que je veux des enfants maintenant ? Est-ce que j’en veux ? Je n’en sais rien. Est-ce que j’ai peur ? Moi, non voyons… Bordel, je serais beaucoup moins stressé à l’idée de la demander en mariage ! Je l’aime. Je veux faire ma vie avec elle. Est-ce que je suis devenu fou ?! Le rappel de tes propres mots d’hier (« Un jour… Épouse-moi ! ») C’était tellement embarrassant. Elle se déshabille. Tu n’arrives pas à détourner le regarde de la brune. Magnifique créature. Peau dévoilée. Tu voudrais la caresser. Reprends-toi ! Tu n’as quand même pas déjà oublié votre précédente conversation. Tu retires ton short en jean. Tu retires ton tee-shirt noir laissant apparaître tes abdominaux ainsi qu’une partie de ta cicatrice se trouvant au niveau de ta hanche. Prêt. On te regarde. On la regarde. La demoiselle attrape ta main et vous emmène dans l’eau fraîche. Contact perdu. Tu pourrais plonger immédiatement dans l’eau, mais tu sais qu’il est préférable de te mouiller avec ce liquide afin d’éviter un choc thermique. Tu marches tranquillement vers l’infini bleu. L’eau commence doucement à cacher les parties inférieures de ton corps. Esprit libre. Tu as un sourire joyeux sur les lèvres en observant Hime nager. Tu as tapé dans le mille en l’emmenant à cet endroit. Elle ose te taquiner ! La vilaine. « Oui, mais pas aussi bien que toi ! » Tu rigoles. Tu es bizarrement sage. Tu plonges dans l’eau salée afin de la rattraper. Tu sais nager. Tu n’es clairement pas aussi doué. Normal, tu n’es pas un nageur, tu es un volleyeur. Pourtant, tu remontes à la surface en étant à côté d’elle. Tes doigts fins glissent sur la peau humide de ses cuisses afin d’atteindre ses hanches. Tu colles son corps au tien. Tête contre tête. Séducteur. Tu uses de tes charmes pour la tromper et l’attirer à toi. Tu as une idée derrière la tête. Vilain. Diable. L’une de tes mains la soutient, tandis que l’autre se place au niveau de son visage. Tu la regardes amoureusement de tes beaux yeux bleus avant de les fermer pour l’embrasser passionnément. Baiser délicieux. Émotion partagée. Sentiments réciproques. Complicité. Tu mordilles sensuellement sa lèvre inférieure avant de rompre définitivement le baiser. Ton regard est beaucoup plus malicieux. Qu’est-ce que tu comptes faire ? Tu déposes tes mains au niveau de ses hanches pour la chatouiller. Tu comptes bien la taquiner. Elle va certainement se débattre. Tu as un visage amusé. Ton cœur et ton esprit sont légers. Vous êtes bien loin de l’ambiance pensant d’hier matin. On dirait que tout est redevenu comme avant et c’est très agréable. Tu es soulagé. Tu es simplement heureux d’être avec la femme qui fait battre ton cœur, qui te comble, et cela, malgré les désaccords, les erreurs et les peines éprouvées. :copyright:️ DABEILLE
Dim 27 Mar - 11:59
Hime Watanabe
Ne m'approche pas j'ai de l'argent
sms envoyés : 108
Sujet: Re: I Love You ? [PV Hime]
I love you ? Ft. Aoi Tsuki
Rp discord:
PDV HIME Contact perdu. Dents serrées. Ton corps se crispe, se plie sous l'effet de la surprise et de cette sensation à la fois agréable et dérangeante. Un cri étouffé quitte tes lèvres, et tu as un mouvement de recul, tentant d'échapper à l'emprise de ton petit-ami et à cette douce torture qu'il ose te faire subir.
PDV AOI Taquin. Joueur. Tu t'amuses à la chatouiller malgré la surprise sur son visage ou encore son cri exprimant à quel point ton geste est une torture. Ton rire s'échappe de tes lèvres alors que tu essayes de revenir près d'elle afin de continuer à l'embêter. Tes mains continuent de caresser ses hanches avec énergie afin de la faire craquer, de la faire rire, de voir ses joues gonflées et de simplement profiter de ce moment de complicité. Têtu, tu ne comptes pas abandonner si tôt...
PDV HIME Un geste inutile. Ses doigts continuent de courir sur ta peau et tant bien que mal, tu tentes d'éviter tout geste brusque qui pourrait lui faire du mal. Sauf qu'en contrepartie, c'est toi qui continue de te crisper, désormais dos à lui. Tu veux fuir et pourtant, une part de toi veut continuer de profiter de cet instant d'une grande complicité. N'importe qui n'est pas autoriser à te toucher de la sorte, à découvrir cette faiblesse que tu tentes de cacher pour ton propre bien.
- Con- arrête ! Je te déteste ! T'es qu'un enfoiré ! Arrête !
Tu n'es pas convaincante, avec cet immense sourire sur le visage et le son de ton rire laissant rapidement oublier ce qu'il se passe autour de vous. Tu t'abstiens tout de même de le menacer de lui en coller une ; même si ça n'a rien de sérieux, que tu n'aurais pas lever la main sur lui - plus jamais - tu ne veux pas lui faire peur. Tu veux que son esprit reste concentré sur ce moment...
PDV AOI Tu as conscience de la torture que tu lui procures. C'est pour rire ! Tu t'attends évidemment à un coup car elle pourrait se défendre, elle pourrait réagir instinctivement. Tu le sais, les personnes crayant les chatouilles peuvent facilement réagir. Tu ne lui e voudras pas. Rien. Elle prend sur elle et rigole. Dos à toi, tu en profites pour coller ton corps au sien afin de garder une bonne prise. Tu rigoles. Tu souris. Complicité extrême malgré les insultes qui sortent de sa bouche. Elle a du cran. Elle a du caractère. Tu aimes cette facette d'elle. Tu pouffe de rire. Explosion de bonheur.
-Tu es adorable ! Mains levées. Tu arrêtes de la torturer. Regard séducteur. Regard amusé. Regard dominant. -Je connais l'un de tes points faible, c'est parfait ! Prédateur. Tu n'es pas prêt d'oublier et tu l'attaqueras encore... Tu es le loup ! Tu l'as toujours été et elle a raison : Tu n'es qu'un connard ! Tu reprends ton souffle après un tel fou rire. On vous regarde. Il faut dire que vous avez complétement oublier le monde qui vous entoure. Tu vois les femmes, les hommes te regarder alors que tu es avec tes yeux bleus... bordel, tu avais oublier de cacher ce regard. Tu baisses la tête en souriant. -Je t'aime. Doux murmure à peine audible. Un son qui ne devait pas forcément l'atteindre, surtout avec le bruit des vagues...
PDV HIME Tu l'insultes, tentes de te libérer - ou pas - tes côtes commençant à faillir sous son toucher à moitié délicat, juste ce qu'il faut pour ne pas te faire mal. Ca faisait longtemps... Beaucoup trop longtemps que tu n'avais pas partagé un tel moment de complicité. Ca te fait un bien fou, surtout après une matinée comme celle de la veille. C'est comme si... Rien ne s'était passé. Comme si son ami et son comportement n'étaient que de lointains souvenirs. Pour le moment... Avez-vous fini d'en entendre parler ? Allez-vous être amenés à en reparler ? Tu n'en sais rien et tu préfères ne pas y penser pour le moment. Libération. Enfin tu respires, ton sourire ne quittant pas tes lèvres. Regard malicieux, comme pour le mettre en garde.
- N'oublies pas mes points forts pour autant, simple petit conseil !
Il a de la chance, Hime, que tu te contrôles assez bien. Tu es si frêle, fragile. Une poupée de porcelaine. C'est du moins ce que tu laisses penser. Mais tu as plus de forces qu'on ne le pense. Pour autant, tu ne t'attaquerais pas à n'importe qui. Ta vitesse, tes réflexes et tes mouvements bien maitriser jouent certes un grand rôle lorsqu'il s'agit de ta défendre mais tu n'as pas la force de nombreux hommes pour autant. Tu es entrainée, tu sais comment faire mal, mais tu es une vrai crevette comparée à Taiga, pour ne citer que lui.
On vous regarde mais tu ne t'en soucies pas, te laissant disparaitre dans l'eau avant de revenir à la surface. Une idée. Tu mordilles ta lèvre inférieure avant de revenir vers ton petit-ami.
- Tu as prévu de partir durant les vacances d'août ? Tu me réserves au moins un jour, n'est-ce pas ... ?
PDV AOI Elle te regarde malicieusement. Elle n'a pas froid aux yeux. Tout le monde devrait savoir que les femmes (ou les hommes) avec du caractère sont tes préférées. Elle te met en garde. Tu ne dois pas oublier ses points forts ?! La boxe ? Tu relèves le regard vers cette dernière. Elle ne va tout de même pas te frapper ?! Tu es pensif l'espace d'un instant. Elle pourrait si tu déconnes une nouvelle fois... Après tout, elle en a déjà ressenti le désir. Elle n'est pas fragile, au contraire, elle est plutôt forte que se soit mentalement ou physiquement. Bien que tu n'es pas eu la chance de voir ses poings levés. Tu souris. Tu n'es pas trop effrayé. Le silence prend place avant d'être anéanti. Une question. Est-ce que tu as prévu de partir en Aout ? Pensif. En général, l'été tu prends quelques vacances et tu ne pars pas seul. Peux-tu lui dire la vérité ? Ce n'est le moment de prononcer son prénom alors que vous remontez enfin la pente. - Cet été, je ne suis pas certain de partir en vacances... Hésitation. Ce n'est absolument pas une question d'argent. D'habitude, tu pars en compagnie de Taiga ! Un petit rituel qui a commencé il y a maintenant plusieurs années. Tu lui souris. Tu veux la rassurer. -J'espère que j'aurais le droit de te voir plus d'une journée. Tu vas terriblement me manquer. Petit coquin. Son corps et son esprit vont te manquer. Un mois sans rien faire de sexuel, ça va être une véritable torture pour toi. Tu t'approches d'elle afin de la prendre dans tes bras. Mordillement de lèvre. Tu ne dois pas lui révéler que tes vacances se passent avec ton ami spécial, celui qui à causé tant de problème, celui qui l'inquiète, celui qui pourrait vous séparer. -Et toi ? Tu vas partir avec tes parents ou alors avec des amies ?"
PDV HIME Tu hausses un sourcil, curieuse. Il n'est pas certain de partir cette année ? Tu te demandes ce qu'il y a de différent cette année, par rapport aux précédentes. Car visiblement, il n'est pas étranger aux voyages. Tes lèvres se séparent, prêtent à laisser franchir cette fameuse question mais ton petit-ami sourit, reprend la parole. Tu soupires, un léger sourire sur le visage ; vaincue. Tu ne poseras pas la question, pas maintenant en tout cas. Tu es déjà contente de le savoir peut-être libre.
- Bien-sûr.
Tu le laisses t'approcher, malgré un léger mouvement de recul. Tu n'as pas oublié ce qu'il s'est passé il y a moins de cinq minutes.
- Je pars souvent avec mes parents et, ou mon meilleur ami... Pour être honnête avec toi. Mais ce n'est pas vraiment le même type de vacances.
Tu ris doucement, légèrement nerveuse. Tu te souviens de ce fameux soir, celui où il a vu cette photo... Tu le sais jaloux, possessif. Tu n'as pas changé de discours : ton meilleur ami est précieux, tu ne comptes pas changer ton comportement... Mais comme tu l'as également laissé entendre, tu est prête à faire plus attention afin de ne pas l'effrayer sur tes intentions, de ne pas jouer avec ses nerfs.
- Je peux te poser une question ?
Ca te trotte dans la tête. Tu y as déjà pensé plus d'une fois. Ton coeur bat. Tu es nerveuse, fébrile, les bras refermés autour des hanches de ton petit-ami, la tête sur son épaule
PDV AOI Pensif. Tu essayes de ne pas lui révéler la vérité sur tes vacances habituel... Tu ne veux pas lui mentir. Tu ne veux simplement pas gâcher ce week-end en prononçant le prénom de ton meilleur ami ? De ton ami d'enfance ? Tu ne sais même pas comment le décrire. Il est tellement plus qu'un ami à tes yeux mais il est allé trop loin la dernière fois. Bordel ! Du coup, tu décides d'en savoir un peu plus à propos de ces vacances. Erreur fatale. Elle y va avec ses parents et/ou son meilleur ami ?! Hmmm Tu as déjà vu une photo d'eux et tu n'as pas vraiment aimé. Ton regard est assez mitigé. Tu ne veux pas qu'il la touche. Tu ne veux pas qu'il la prenne dans ses bras chauds. Tu détestes ce genre d'image. Elle est à toi ! Contrôle toi un peu. Il n'est rien d'autre qu'un meilleur ami. Elle a bien dit que ce n'était pas le même genre de vacances ?! Quoi ? Impossible qu'il est déjà couché ensemble non ? C'est possible ?! Tu commences à t'inquiéter. Taiga, il était également ton meilleur ami ! On voit comment ça s'est terminé ! En galipette... Tu serres un peu plus la demoiselle. Tu ne lui fais pas mal. On peut facilement lire dans ton regard que tu es possessif, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie.... Tu ne changes pas. Tu boudes. C'est clairement écrit sur ton visage. Tu en gonflerais presque les joues. L'ambiance est étrange. Puis, elle veut te poser une question. - Oui ? Qu'est-ce que tu veux savoir ? Ta voix est neutre alors que tu comprends que quelque chose cloche. Tu penches ta tête pour essayer de la regarder. Elle agit bizarrement. A quoi elle pense ? Tu soupires légèrement afin d'arrêter de bouder. -Tu peux tout me demander, je te répondrais. Tu attrapes son visage pour qu'elle te regarde dans les yeux. Regard océan. Complicité. Tu lui montres qu'elle peut avoir confiance en toi, en vous.
PDV HIME Son emprise se ressert autour de toi mais tu ne rajoutes rien. S'il a besoin de te parler de quelque chose, tu veux qu'il le fasse de lui-même. Tu es sacrément exigeante avec Aoi Tsuki, Hime. Tu n'étais pas comme ça avec ton ex petit-ami, ton ami d'enfance... Qu'est-ce qui est différent ? Pourquoi est-ce si peu équitable ? Peu importe... Là n'est pas la question. Tu sens que quelque chose le dérange, tu peux même deviner de quoi il s'agit... Mais c'est à lui de poser les questions, de s'exprimer une fois de plus, tout comme toi tu viens de le faire. Ca te fait peur, Hime. Tu as peur de poser la mauvaise question mais tu veux savoir, être fixée.... Il te force - avec délicatesse - à le regarder dans les yeux. Tu prends une grande bouffée d'air... Pour te donner du courage... - Est-ce que... Hm... Comment formuler une telle question ? Tu ne veux rien lui imposer mais tu désires avoir une réponse. Parler de vacances, ça t'a rappeler que ce détail t'a toujours perturbé car Aoi n'a jamais été très clair à ce sujet. - Je voudrais que tu me parles de ta mère un jour... Enfin... plutôt où tu en es avec elle maintenant. Je n'arrive pas à deviner, en me basant sur le peu que tu m'en dis, si vous vous parlez toujours, si vous arrivez à vous entendre si c'est le cas, si vous vous voyiez encore, ou ... ? Je ne veux rien t'imposer mais... je voudrais savoir un jour... Quand tu seras prêt à m'en parler... car tu en sais finalement plus sur cet homme qu'il déteste et qui lui a fait tant que mal que sur cette femme qui est censée être la première de sa vie.
PDV AOI Tu es inquiet de la relation d'Hime avec son meilleur ami. Tu es terrifié et colérique à l'idée qu'il puisse la toucher, qu'il puisse désirer davantage. Tu peux lui faire confiance. Elle n'a d'yeux que pour toi. Espérons. On connaît ton passé. D'ailleurs, il te rattrape quand Hime ose finalement te demander quelque chose à propos de ta mère. Tu n'es pas vraiment surpris. Tu savais bien qu'un jour elle te questionnerai à son sujet. C'est normal. Elle ne sait pas grand chose à son sujet. Tu es calme. Elle semble embarrassée et stressée à la fois. Tu la regardes dans les yeux. -Hmmm... Tu soupires. Qu'est-ce que tu pourrais bien raconter sur cette traitresse. Tu n'as plus confiance en elle, malgré tout, tu sais qu'elle sera là pour t'épauler surtout s'il s'agit de quelque chose en rapport avec la médecine. Elle n'a pas réussi à te protéger, à te sauver de ton bourreau. En même temps, tu ne t'ai pas confié à elle. Tu ne voulais pas qu'elle souffre. Tu avais peur qu'elle prenne des coups, tu avais peur d'être encore plus battu par ton monstre de père à cette époque. -Elle... Parole interrompue. Tu veux lui parler d'elle mais tu ne sais pas quoi dire à son sujet. Est-ce que tu l'aimes ? Pas vraiment. Est-ce que vous parlez ? Un peu, de temps en temps quand tu veux bien répondre au téléphone. Est-ce que tu la vois toujours ? Très rarement. Tu n'aimes pas vraiment sa compagnie. Tu sais qu'elle est en couple avec un homme depuis quelques années maintenant, après, elle l'a peut-être trompé... -Par quoi commencer à son sujet, à notre sujet ?! Tu regardes l'infini bleu en parlant, évitant ainsi le regard de ta bien aimée. Tu te lances. -Il nous arrive de parler au téléphone quand j'accepte de décrocher en voyant son numéro... Sinon, on ne se voit pas régulièrement. J'avoue ne pas avoir très envie de la voir, c'est triste mais l'apercevoir m'énerve. Son visage me rappelle le passé, c'est-à-dire quand j'étais battu ou quand elle trompait mon père. Après, il paraît qu'elle a trouvé un homme bien. J'espère qu'il arrivera à la combler. Elle le mérite. Elle n'a pas toujours était une trainée à mes yeux, avant, je l'adorais. C'était une mère attentive et bienveillante, elle me donnait tellement d'amour et d'attention. C'était la belle époque, bien qu'elle soit révolue. Après, je sais qu'elle fait des efforts pour reconstruire notre relation. Un jour, j'arriverais à lui pardonner. Un jour, j'accepterais d'apprendre à connaître son concubin. Pour le moment, j'y vais à mon rythme. Elle a du mal à s'adapter au mien, mais elle n'a pas vraiment le choix. Ta voix est assez neutre, bien qu'on arrive a y voir de la sincérité. Tu ne mens pas. Tu n'as pas trop de problème à évoquer ta mère. Ton regard océan revient sur ta fleur favorite. -Pour le moment, elle n'est pas vraiment quelqu'un que j'ai envie de te présenter... Elle est assez sévère pour les études et elle veut absolument que j'ai un réseau de relation au top, alors tu vois, je n'ai pas vraiment envie qu'elle vienne t'embêter ou autre... Elle n'est pas méchante, bien qu'elle soit assez franche de nature. Elle est têtu comme moi. Tu souris amusé pour la fin de ta phrase. -Après, tu voudrais peut-être la rencontrer ? Tu te ferais ta propre opinion à son sujet... Tu serais près à accepter un rendez-vous avec ta mère pour qu'Hime puisse la rencontrer ?! Si elle le veut. -Ma famille n'est pas comme la tienne... Ta voix semble légèrement gêné. Tu aurais presque honte d'avoir un monstre comme père et une salope de mère. -Je suis heureux que tes parents prennent soin de toi ! Vérité.
PDV HIME Tu es nerveuse, Hime. Tu sais que le passé est un sujet sensible pour lui. Pourtant, tu attends, tu écoutes, les yeux rivés sur son visage si parfait avant de descendre vers sa cicatrice. C'est instinctif. Ta main glisse doucement sur son bras, comme si toute force t'abandonnait. Pourtant, tu parviens à serrer très légèrement sa chair entre tes fins doigts, le cœur battant. Tu as mal. En arriver là avec la femme qui aurait dû être la plus importante du monde à ses yeux... Un instant de silence. Tu secoues doucement la tête. - Non. J'étais juste curieuse. En réalité, tu penses surtout que ce n'est pas le bon moment. Vous commencez à peine à réellement profiter de votre vie de couple et tant que leur relation n'est pas rétablie, te présenter te semble bien mal venu. Tu relèves enfin la tête vers ton petit-ami, passes ta main dans ses doux cheveux noirs. - Si je fais ce que tu m'as dis hier, ce sera aussi la tienne."Un jour...Épouse-moi !" Ce sont ses mots. Tu sembles plaisanter et pourtant, tu es sincère. Tu sais que tes parents lui feront une place dans la famille, comme s'il avait toujours été là.
Tu repenses à ses mots, à sa façon d'être. Les liens se font. A-t-il peur que tu deviennes comme sa mère, Hime ? Que tu t'en ailles, couches avec un autre,... ? Cette pensée te rendrait presque triste si tu connaissais rien de son passé, s'il ne t'offrait pas autant d'amour. Léger sourire indescriptible. Tu viens déposer un baiser sur ses lèvres avec une grande douceur, rassurante. Tu lui prouveras qu'il ne doit pas douter de toi. - Réserves-moi au moins un jour de tes vacances, je veux t'emmener quelque part ! Tu souris. Amoureuse...Douce... - Et si on profitait un peu de l'eau avant d'aller manger ?!
Un partage. Il te découvre dans ton élément, entrainé par ta gaieté. Tu es bien là, Hime, dans cette eau salée qui caresse ta peau, désormais bien au chaud et surtout, bien accompagnée. Vous restez là pendant un moment, à nager, discuter, jouer. Tu es telle une enfant, accrochée à ton homme comme à une bouée de sauvetage avant d'essayer vainement de lui mettre la tête sous l'eau. Comme s'il allait se laisser faire si facilement ! Dire que hier encore, il n'y avait que tes larmes, tes cris, ta haine... Aujourd'hui, tu es sur ton petit nuage. Tu ne veux plus y penser. Tu veux oublier, espérer qu'il ne te fera plus jamais une telle chose, que le message est passé...
Le temps passe et vous avez finis par regagner vos affaires, raisonnables. Tu lui donnes sa part de nourriture, dégustes la tienne avec un plaisir certain. Pas que ce soit un déjeuner gastronomique - loin de là - mais quelque chose autour de toi le rend spécial. Sans doute l'ambiance.
(...)
Sourire aux lèvres, tu viens te glisser derrière ton petit-ami, la main posée contre sa peau chaude. 《 Je te mets de la crème ? 》 Une question qui n'en est pas réellement une. En réalité, tu ne lui laisses pas le choix et commences déjà à lui appliquer - tout en délicatesse - le substance blanche sur les zones les plus à risques. Son dos, ses épaules, ses bras... Cela fait, tu te penches en avant, déposes un rapide baiser sur sa joue avant de poser ton doigt sur son nez désormais blanc. Taquine. Une enfant. 《 J'y ai droit aussi, n'est-ce pas ? Tu penses que tu t'en sortiras mieux qu'avec l'huile de message ? 》 Vicieuse. Mauvaise. Démone. Il te le fera regretter !
I Love You ? Aoi Tsuki & Hime Watanabe Un partage. Un échange joyeux et honnête. Tu admires la femme qui fait battre ton cœur dans l’eau. Vous nagez dans l’eau salée. Agréable sensation. L’ambiance est très différente d’hier matin pour ton plus grand bonheur. Vous avez franchi une nouvelle étape dans votre couple, espérons que les erreurs du passé ne se reproduisent jamais… Tes pensées sont loin des pleurs, de la haine, de la colère éprouver par ta bien-aimée et surtout loin de ta tristesse. Épisode clos. La chipie essaye vainement de te couler. Fort et têtu, tu ne la laisses pas faire. Tu réussis même à l’avoir à son propre jeu. Évidement, tu ne la coinces pas trop longtemps sous l’eau. Tu sais qu’elle est résistante, qu’elle est forte, tu ne veux tout de même pas lui faire du mal. Tes rires s’étendent jusqu’à l’infini de l’océan ! Ton sourire est angélique. Tu t’amuses réellement. Le temps passe et vous terminez par manger sur la plage. Un repas qui tombe à pic, car tu es un morfal. Tu remercies ta fleur favorite pour sa petite attention avant de littéralement tout dévorer. Un véritable loup…
Le calme avant la tempête ? Qui sait… La demoiselle t’impose de la crème solaire. Une idée lumineuse. Il ne faudrait pas que tu attrapes un coup de soleil ! Tu n’as même pas le temps de répondre qu’elle s’empresse de prendre les devants, ses mains parcourant ton corps. Tu apprécies le contact de ses doigts fins sur ta peau nue. Sensation agréable. Puis, elle vient embrasser ta joue avant d’être vilaine en déposant de la crème sur ton nez. Tu rigoles avant d’avoir un regard plus sérieux. Quoi ? T’en sortir mieux qu’avec l’huile de massage ? Tu es surpris. Est-ce qu’elle ne serait pas en train de se moquer de toi ?! Bordel. Tu grognerais presque. Démone. Est-ce qu’elle parle de ton érection ? Elle devrait être ravie que ton corps réclame le sien. Légère grimace. Tu détournes le regard, tu détournes la tête avec un air boudeur ! Un petit claquement de langue. Démone !
Une idée de génie arrive à ton cerveau de scientifique. Tu as un petit sourire vilain d’afficher sur ton joli minois. Ton regard azur se plonge à nouveau dans celui de la demoiselle. Tes mains attrapent la crème solaire. « Tu as oublié une zone importante » Tes yeux se baissent naturellement alors que tu ouvres la crème solaire pour en mettre un peu sur ta main droite. Mouvement. L’une de tes mains pose le flacon de crème afin de baisser légèrement ton maillot de bain. Tes doigts viennent délicatement appliquer le liquide blanc sur ta hanche, celle possédant une cicatrice. Souvenir. Là n’est pas ton objectif. Tu veux simplement qu’elle regarde ton corps magnifique malgré ce marquage ignoble. Tu veux qu’elle désire plus, que ses yeux soient curieux de regarder un endroit plus intime… Vilain. Démon. Diable. Tu sais qu'elle va tmber dans le piège. Tu lui montres quelque chose d’inaccessible actuellement. Petit coquin. Tu es plutôt fier. Tu n'as vraiment pas froid aux yeux. Tu as osé. Un moment beaucoup trop court. Tu arrêtes cette manœuvre afin de passer derrière elle pour t’occuper de son corps en lui mettant de la crème. Tes doigts fins viennent effleurer son corps alors que tu te penches afin de murmurer à son oreille. « J’ai vu ton regard… Petite coquine ! » Tu rigoles. Tu la taquines sans aucune retenue. Tu embrasses sensuellement la nuque de cette dernière avant d’être plus sérieux. Petite distance. Tu te contentes d’exécuter ses ordres en lui mettant de la crème sans risquer d’avoir un engin un peu trop réveillé. Malin. Tu souris un peu bêtement. Voilà, c’est terminé.
Tu te redresses afin de t’étirer. Tu es plutôt fier de toi. Ce petit moment à deux se termine assez rapidement lorsqu’une jeune femme vient à votre rencontre. Elle est plutôt mignonne et possède un maillot de bain qui montre le nécessaire. Pourtant, tes yeux sont rivés sur ta bien-aimée avant qu’une voix ne parvienne jusqu’à tes oreilles. « Bonjour vous deux ! Excusez-moi de vous déranger, mais on cherche des joueurs pour une partie de volley-ball sur la plage ?! Est-ce que vous seriez intéressé pour jouer avec nous ? » Elle vous aborde avec énergie et joie. Tes yeux bleus atterrissent sur la demoiselle. Une partie de volley-ball ?! Tu retiens un regard pétillant. Après tout, tu adores ce sport, mais tu es ici pour passer un agréable moment avec ta compagne. Tu ne voudrais pas la mettre de côté, après, tu sais qu’elle est sportive alors peut-être une petite partie pourrait la tenter… « Vous connaissez un peu le principe ? Les règles sont très simples ! » Elle arbore un beau sourire. Toi, tu connais très bien les règles. Il faut dire que tu fais partie du club de volley-ball de ton université. Tu gardes cette information pour toi, bien qu’Hime connaisse cette vérité. La jeune femme reprend la parole. « On accepte évidemment les débutants ! » Contrôle. Tu ne montres rien. Neutralité.
Aoi, tu te tournes vers ta petite amie afin de voir avec elle. Étrange. Toi, demander la permission ?! Tu as vraiment changé ma parole. « Hime, ça te tente une petite partie de volley-ball ? » Tu souris. Un sourire presque diabolique à l’idée de les écraser. Compétiteur dans l’âme. Évidemment, l’inconnue n’a pas le droit à ce spectacle. Tu veux garder ton côté volleyeur pour toi, pour Hime. Tu veux créer un effet de surprise si ta perle adorée accepte. En réalité, tu connais déjà la réponse. Tu te doutes qu’elle va accepter, car elle sait à quel point tu adores ce sport, sans oublier, qu’elle doit bien avoir envie de voir un beau sourire de compétiteur sur ton visage. En plus, elle aime le sport, et elle est plutôt sociable, sans oublier, qu’elle pourra enfin essayer ton sport favori.
« On est de la partie ! » Voix enjouée.
Tu tends la main afin de l’aider à se relever, puis vous rejoignez les autres joueurs. Tu observes ceux qui vont devenir tes alliés et ceux qui seront tes ennemis. Il y a trois hommes et la femme venue nous chercher. « On fait comment pour les équipes ? » Petite interrogation. Pendant qu’ils réfléchissent, toi, tu colles ton corps à celui d’Hime pour un petit câlin. Propriété. Tu marques ton territoire et tu mets les choses au clair. Ce n’est pas la peine d’approcher ta petite amie pour la séduire. Mâle dominant. Tes lèvres à ses oreilles, tu lui murmures quelques mots inaudibles pour les autres. « Attention, si tu perds, tu seras puni ! » Sourire. Après tout, elle ne sera peut-être pas dans ton équipe, bien que tu rêverais qu’elle soit ta coéquipière.
Penser au passé, te demander comment auraient pu être les choses si tu avais agit différemment... Si tout avait été différent. Tu t'es longtemps demandée pourquoi toi et ton ami d'enfance... Si tu aurais dû être davantage toi-même avec lui... Est-ce que ça aurait changé quelque chose ? Ou fallait-il s'attaquer à la source du problème, une source intouchable qui s'appelle "un père" ? Aurais-tu dû être plus insistante, ou peut-être moins ? Ouragan de questions traversant ton esprit, chaque soirs, chaque jours... Dilemme auquel tu n'as jamais su obtenir de réponse... Bloquée dans tes tourments, ce n'est pas que tu oubliais le monde qui t'entourait, ni ces personnes qui tentaient de t'apaiser, de recoller ton cœur brisé... Tu les ignorais. Tu avais choisi d'espérer plutôt que d'avancer. Par amour, par loyauté, par sensibilité. Chevaleresque. Parce que tu refusais de l'abandonner, de le laisser sombrer... Parce que le temps est notre meilleur allié, paraît-il.
Puis il est arrivé...
Ses yeux plongés dans les tiens, tu es devenue sa cible, lui ton prédateur. Un baiser dans ton cou, tu es devenue celle qui l'intriguait, lui celui qui réveillait tes instincts. Sa peau contre ta peau, vous étiez devenus le péché de l'autre, mais aussi une lueur d'espoir. Son cœur au creux de ta main, tu es devenue celle qui lui a permis de se rappeler qui il était. Ton cœur au creux de sa main, il est devenu celui qui t'as permis d'avancer, plutôt que d'espérer.
Alors tu y parviens enfin, à profiter du présent... De ce moment de pur complicité, laissant de côté la douleur des jours passés.
À être toi-même...
Provocatrice. Joueuse. Tu sais qu'il va te faire regretter cet affront, à un moment ou à un autre. Tu hausses un sourcils, curieuse, ton regard suivant sa main, vers cette cicatrice... Est-ce qu'il cherche à te tenter ? À faire naître le désir ? À faire remonter à la surface le souvenir de cette fameuse nuit ? Sadique. C'est encore frais dans ta tête. Ça te manquerait presque... Non, tu ne dois pas y penser. Tu dois résister. Tu relèves la tête, plonge ton regard dans le sien... "Tu es sûr de vouloir jouer à ce petit jeu ?!" Le message est clair, alors que c'est bien toi qui l'a lancé, ce jeu... On dirait bien que oui... Ses doigts glissant sur ta peau, il se permet encore de frôler de ses lèvres une zone qu'il sait sensible chez toi. Diable. Comme toi. 《 C'est que c'était bien indécent ! 》 Sourire en coin, voix trahissant ta défaite mais aussi ton désir de vengeance...
Les minutes passent lentement, beaucoup trop lentement. Torture pour ton corps. Privilège pour ton cœur. Grand sourire, jusqu'à ce que ton regard se pose sur cette inconnue qui vous aborde afin de vous proposer une partie de volley sur la plage. Du volley... Tu es une sportive, Hime, mais tu n'as que très peu pratiqué ce sport. C'était plus une activité parmi tant d'autres proposée occasionnellement à l'école, hors programme. Tu connais vite fait les bases mais tu es loin d'être vraiment douée. Cela dit, tu sais qu'il s'agit du sport favori de ton petit-ami, celui qu'il pratique régulièrement. Tu ne vois pas son visage mais tu devines aisément qu'il doit avoir du mal à refuser. Proposition. Sourire. Regard de nouveau posé sur la demoiselle. 《 Si les débutants sont acceptés... 》 Amusée. C'est un oui. Aoi a découvert indirectement ton univers. Tu veux découvrir le sien.
Vous voilà en route pour rejoindre le reste de vos futurs partenaires. Un petit groupe. Rien de mieux qu'un petit comité. Tu les laisses se décider pour les équipes, silencieuse. Bras venant t'entourer. Corps appuyé contre le sien, savourant cet instant parfaitement innocent... Vraiment ? Non, il n'a rien d'innocent, et tu le comprends davantage lorsque le souffle de ton petit-ami caresse l'extrémité de ton oreille. Sourire joueur. Il veut vraiment jouer ? Tu vas jouer. 《 Ça me donnerai presque envie de perdre... 》 Murmure. Sourire joueur, trahissant tes intentions. Tu comptes bien le faire mijoter, le provoquer, profiter de lui, de son esprit compétitif, de son désir de dominer la partie et de gagner. Tu t'écartes doucement, sourire amusé sur les lèvres... 《 On... On peut rester ensemble ? 》 Voix haute. Demande aux autres joueurs. Timidité factice. Tu joues les filles mal à l'aise à l'idée de te retrouvée seule dans une équipe avec des inconnus. Un gars vous regarde avec un grand sourire. 《 Vous voulez vous consoler entre amoureux quand vous aurez perdu ? 》 Tu baisses la tête, continue la comédie, silencieuse. Bingo. Il a dit exactement ce qu'il fallait. Tu n'auras même pas eu besoin de provoquer davantage ton petit-ami. Quoi que... Tu te tournes vers elle, sourire et regard malicieux. Un spectacle que seul lui peut apercevoir. Clin d'œil avant de te diriger vers le milieu du terrain. Vous êtes avec l'un des garçons. En face, la fille qui vous a abordé, le gars qui vous a provoqué et un autre...
Un rapide résumé des règles, très simplifié et vous voilà parti.
Tant bien que mal, tu tentes de prendre tes marques, le rythme. Difficile. Tu sers de façon très basique, te prend le filet plus d'une fois au début, avant de parvenir à la passer de justesse. Au moins, ça passe et oblige vos adversaires à s'approcher de l'avant de leur terrain, permettant à tes coéquipiers de viser plus loin en retour. Tu n'es pas très douée pour réceptionner non plus... Tu te prends même le ballon sur la tête à un moment, comme s'il se moquait royalement de toi ! 《 Le premier qui rit, je lui lance le ballon sur la tête ! 》 Rire partagé. 《 T'es capable de te rater. 》 Plaisanterie. 《 Il y a des chances !》 Rire général. Tu te moques de toi-même, bonne joueuse. Tu es nulle, tu es nulle. Mais... Tu tentes toutefois une nouvelle position... Tu t'occupes de passer le ballon, afin qu'un de tes coéquipiers puisse marquer. Et... ça te réussit enfin ! Tu parviens à te synchronisée aux autres, à leurs amenée le ballon là où il faut. Être à trois vous oblige à courir, à être à tous les postes, mais tu passes un bon moment. Une pause afin de boire. 《 Je pensais être nulle en tout mais je suis une bonne passeuse finalement ! 》 Faux air fier. Bref rire amusé. Nouvelle gorgée. 《 Vous n'avez pas des conseils pour moi ? C'est pas que me retrouver les fesses sur le sol me gêne mais c'est tout comme... 》
Manipulateur. Tu es un prédateur qui sait mentir à la perfection. Toi, un débutant en volley ? La bonne blague. Tu es un véritable volleyeur couplé à un compétiteur de l’enfer. Tu comptes les berner avant de les réduire en poussière. Proposition acceptée. Challenge en cours. Vous arrivez à l’endroit du crime. Tu es prêt à en découdre. Corps bouillonnant. Tu es vilain et joueur, Aoi. Tu embêtes même ta petite amie en lui promettant une punition si la défaite est sienne. Après tout, elle ne sera potentiellement pas dans ton équipe et tu veux la voir se donner à fond. Il n’y a rien de mieux qu’un petit challenge. Démon. Tu rigoles à ces mots. Tu n’es pas le seul diable de l’assemblée. Tu attendais patiemment les équipes et là, la voix de ta compagne s’élève. Elle réclame à être dans ton équipe. La vilaine. Elle veut s’assurer la victoire. Tu souris amuser à son jeu d’acteur avant de rigoler aux dires de l’autre garçon. Tu n’oses pas répondre aux risques de trahir ta couverture. Toi, perdre ?! Impossible. Tu es remonté à bloc avec ces paroles. Tu penses plutôt fêter votre victoire en amoureux. Tu as bien compris le petit manège d’Hime ! Maline. Elle est malicieuse. Tu ne l’as pas choisi pour rien. Enfaîte, tu n’as rien choisi, c’est ton cœur qui a décidé pour toi. Elle te correspond à la perfection.
Vous vous retrouvez sur le terrain. Tu ne connais pas le niveau du garçon faisant partie de votre équipe. Tu espères qu’il ne soit pas trop mauvais. En-tout-cas, tu sais qu’Hime est débutante. Il ne va pas falloir y aller trop fort. Il faut la ménager. Tu comptes vraiment la ménager ? Tu vas essayer… Tu écoutes attentivement les règles. Tu n’en as pas besoin, mais tu fais semblant d’être débutant. On rappelle que tu joues un rôle de débutant. La partie commence et un sourire envahit ton visage. Tu as déjà pris le rythme de la partie, bien que tu restes sur les bases. Tu ne voudrais pas qu’on découvre ton petit mensonge trop vite. Les services sont ta spécialité dans ce sport, du coup, tu te débrouilles pour ne pas être à ce poste. Tu ne veux pas griller ta couverture et puis, cela permet à ta fleur de s’entraîner. N’empêche, c’est beaucoup plus fatiguant de jouer sur le sable que sur du béton. Tu t’en rends compte assez rapidement. Un moment de rire. Ta petite copine vient de se prendre le ballon en pleine face. Tu t’approches d’elle afin d’être certain qu’elle n’a rien. Tu écoutes. Elle vous menace. Tu rigoles de bon cœur. Tout le monde plaisante. L’ambiance est assez agréable. Aoi, tu n’oublies pas ton objectif. Tu veux gagner ! Tu es vraiment trop compétiteur et pourtant, tu ne t’es pas encore réveillé au grand jour. Silencieux. Tu profites de la petite pause pour boire. Tu récupères alors qu’Hime demande des conseils. Tu regardes les autres joueurs. Ils ne sont pas trop nuls.
« Dans ce sport, chacun à un rôle à jouer dans l’équipe. Il y a ceux qui sont doués au service, ceux qui savent attaquer ou défendre, le passeur est très important dans l’issue d’un match. Tu es peut-être plus faite pour être passeuse… Il y a un test, si tu veux la savoir. Il suffit de faire rebondir le ballon au-dessus de ta tête. Moins il y a de bruit, plus tes passes pourront être précise. C’est le test ultime pour le passeur. C’est un test très difficile, bien qu’on ne dirait pas. »
L’un des garçons prend le temps de lui expliquer et il a raison. « Ne jamais quitter le ballon des yeux » C’est un conseil qui paraît anodin et évident mais ce n’est pas toujours évident. On doit constamment savoir ou il se trouve, c’est vital dans ce sport. Tu t’avances vers ta petite amie avec un large sourire. « Tu te débrouilles bien » Un compliment. Elle n’est pas très douée, mais elle a de la volonté et pour être sincère, elle a réussi à te faire de belles passes pour que tu puisses marquer. On ne créait pas un joueur de volley en quelques minutes. Il faut des jours, non, des années d’entraînement. Il faut également une équipe soudée qui se connaît sur le bout des doigts. « C’est reparti ?! Vous êtes prêt à perdre !! » L’équipe adverse rigole. Il vous cherche. Aoi ne soit pas trop vilain. Ton regard est compétiteur, ainsi que ton sourire. Tu es le premier à retourner sur le terrain. C’est parti ! Tu es en position pour servir.
« On a bien rigolé, que les choses sérieuses commencent mes petits lapins ! » Une voix conquérante. Tu es sûr de toi ! Taquin. Dominateur. On te reconnaît bien.
Tu as ce regard terrifiant sur le visage alors que tout le monde reprend sa place. « C’est parti ! »
C’est le top départ. Ton regard est déjà tourné vers le ciel que ton corps bouge. Ton bras envoie la balle dans les airs. Un saut. Un bruit retentit lorsque la paume de ta main vient frapper avec exactitude la balle de volley afin de l'envoyer de l'autre côté du filet. Une vitesse de frappe effrayante. Une précision flippante. Tu n’es clairement pas un débutant. Le ballon passe à côté du visage de la demoiselle se trouvant sur le côté adverse. Aucune réaction. C’est le choc total. Un geste maîtrisé à la perfection. Un chemin infaillible. Tu es loin d’être à ta première partie et les membres de l’équipe ennemie viennent de le comprendre en une fraction de seconde. « Putain ! Il s’est bien moqué de nous… Il n’est absolument pas débutant ! » L’heure n’est plus à la rigolade. Tu enclenches la deuxième, la troisième, la quatrième. Il va falloir suivre le rythme. Tu comptes bien faire courir ces trois petits lapins sur tout le terrain et le pire dans cette histoire, c’est que tu t’en donnes à cœur joie. Tu n’oublies pas tes coéquipiers, au contraire, tu compenses les faiblesses d’Hime. Tu l’aides à réussir en lui donnant des petits conseils pendant le match, tu lui montres même comment se tenir avant qu'elle serve... Tu entends la rage de l’équipe adverse et ce sentiment de supériorité te plaît. Tu en rigoles. Tu es terriblement amusé. Le match se passe à la perfection et vous finissez par gagner !!
« Bien joué !! » Tu arbores un magnifique sourire en venant féliciter Hime. Tu la prends dans tes bras pour la câliner et la soulever, la faisant tourner. Un baiser en récompense. L’autre garçon de notre équipe est fou de joie pendant que les autres perdants sont attristés. C’est le jeu. Tout le monde se félicite. Vous avez vraiment passé un agréable moment, bien que tu aies du sable partout. Il faut dire que tu n’as pas hésité à plonger au sol pour que le ballon ne touche pas le sol !
Le temps passe et vous passez encore un peu de temps à la plage. Un mélange entre bronzer et aller à l’eau. Après tout, vous avez besoin de vous rafraîchir surtout après une telle activité. Tu es heureux d’avoir retrouvé cette complicité avec ta fleur favorite. Vous aviez vraiment besoin d’un moment pour vous retrouver. Un petit moment rien que tous les deux et loin de votre train-train quotidien. Tu la regardes au loin. Elle est si belle. Tu l’aimes. Amoureux. Tu as des étoiles dans les yeux. Tu as vraiment trouvé chaussures à ton pied. Tu vas faire des efforts, tu veux être le petit ami qui pourra la soutenir et la faire évoluer à son rythme. Tu veux être l’homme qui la rend heureuse. Tu veux continuer à voir son magnifique sourire. Tu veux être les bras pour la réconforter dans les moments plus douloureux ou être les bras qui pourraient l’aider à s’envoler. Toutes ses pensées sont à la fois agréables et terrifiantes. Tu es prêt à affronter ton futur avec Watanabe ! Les minutes passent et il est l’heure de rentrer à l’hôtel. Tu récupères toutes tes affaires ainsi que celle de ta bien-aimée. Puis, vous profitez du Room service pour vous offrir un délicieux repas. Vous n’avez pas encore pris votre douche et c’est très bien ainsi, car tu as une proposition à lui faire…
« Est-ce que tu voudrais qu’on aille se balader en bord de plage ma chérie ? On pourrait y voir un coucher de soleil. » Et si baigner. Tu ne diras rien. Cela pourrait être une surprise. Petit coquin. On sait très bien à quoi tu penses. Tu n’as même pas réalisé que tu l’avais appelé par un surnom et pas n’importe quel surnom. Tes yeux sont plongés dans les siens. Un regard amoureux. Mignon. Tu es un véritable charmeur.
Sam 14 Mai - 16:00
Hime Watanabe
Ne m'approche pas j'ai de l'argent
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Sujet: Re: I Love You ? [PV Hime]
I love you ? Ft. Aoi Tsuki
Hime, tu t'amuses. Tu es loin d'être douée, même si tu arrives à gérer les passes, mais tu sais rire de toi. Vos partenaires de jeu sont agréables, savent plaisanter. Tu prends plaisir à découvrir l'univers de ton petit-ami grâce à de nouvelles têtes. Sociable. Tu es attentive à tout ce qu'il se passe, tout ce qui se dit, cherchant la moindre petite information utile pour ne pas être un boulet. Tu fais au mieux avec tes compétences. Alors, quand Aoi te fait un compliment, tu ne peux t'empêcher d'être septique. Ou tu fais semblant de l'être, un sourcil haussé. 《Ou c'est juste toi qui est trop doué.》 Regard complice, fier. Un appel. Retour sur le terrain. Vous êtes les pires. Ton petit-ami sort le grand jeu, surprend, déstabilise. Votre coéquipier est ravi, donne tout ce qu'il a pour suivre le rythme. Toi, tu t'adaptes comme tu peux, ris intérieurement face à la frustration de vos adversaires. Tiens c'est nouveau ça... Toi ? Qu'est-ce qu'il t'arrive, Hime ?
Fin du match. Tu te laisses portée par l'enthousiasme de ton petit-ami. Maintenant que tu y penses, c'est la première fois que tu le vois jouer aussi longtemps. La dernière fois, tu as plutôt insister à la fin d'un entrainement. Du coup, ça te fait plaisir. Tu as l'impression de découvrir une nouvelle facette du jeune homme dont tu avais pourtant déjà conscience. Mais il y a une différence entre le savoir et le voir. Et encore... Il faudrait vraiment que tu sois présente à l'un de ses matchs un jour, un vrai.
Vous vous séparez, ravis. Le temps passe et vous l'utilisez comme il se doit. Il fait beau, vous êtes sur une plage : ce serait dommage de ne pas en profiter pour bronzer, vous baigner et surtout, continuez sur votre lancée pour vous retrouver. Loin des regards de votre entourage, loin de celui qui vous a temporairement éloignés.
Retour à l'hôtel. Repas partagé. Tu dois bien avouer que ce sont de très bons cuisiniers ici. Certes, pas aussi doués que ceux qui préparent de grands festins pour de grandes occasions - pour bourges - mais tu te régales. Tu n'es pas aussi exigeante qu'il n'y paraît. Pour le moment...
Une proposition qui te fait quitter les yeux de ton assiette. Mais surtout, un mot perdu. "Chérie" ? Tu as l'impression d'être une femme mariée. Mais tu ne t'y attardes pas, car il y a plus important : une balade en bord de plage. Coucher de soleil ? Eau ? Sable ? Avec celui que tu aimes ? Tu es rêveuse, Hime, sensible à ce genre de chose. Une grande romantique. Comme si tu pouvais refuser ! 《Oui !》 dis-tu avec un grand sourire, enthousiaste. Et mieux vaut ne plus trop trainer si vous voulez arriver à temps. Repas terminé, tenues du soir enfilées et hop, vous êtes partis.
(...) L'air est agréable. Vous avez passé de longues minutes, voir plus d'une heure, à marcher le long de la plage sous les couleurs du coucher de soleil. Rêve. Tu n'as pas lâché la main d'Aoi une seule fois, comme si c'était la seule chose qui pouvait te maintenir dans la réalité. Vous avez fini par vous trouver un petit spot, à l'écart. L'endroit idéal pour vous poser et profiter de la chaleur persistante. Même s'il fait plus frais que tout à l'heure.
Regard rivé sur la mer. C'est si impressionnant lorsque le soleil est couché... Cette vaste étendue d'eau qui semble refermer tous les secrets du monde... Tu sens l'adrénaline monter en toi, passionnée. Tu as envie de t'y baigner. Tu as envie de... plus... lorsque tu tournes la tête vers lui. Innocente. Ou pas. C'est juste une impression. Tu attends, ne dis rien, mais ton regard te trahi. Tout le monde n'a pas forcément envie de se jeter à l'heure à une heure pareille..
I Love You ? Aoi Tsuki & Hime Watanabe Une proposition très alléchante. Tu veux faire plaisir à ta fleur favorite. Tu la connais. Tu sais à quel point elle aime le romantisme. Toi, tu es un véritable charmeur. Un expert dans le domaine. C’était naturel pour toi de lui proposer une petite balade en bord de mer. Elle ne pouvait qu’accepter. Rêveuse, elle imagine déjà la scène. Elle est contente. Tu le vois à son visage, à sa manière de te répondre. Vous finissez tranquillement votre repas avant d’enfiler une tenue afin de sortir à l’extérieur.
Vous partez en bord de mer. Vous marchez les pieds dans le sable, le vent dans les cheveux, mains dans la main. Le soleil perd petit à petit en altitude et laisse place à de magnifiques couleurs. Un merveilleux tableau qui pourrait être dessiné en couleur sur une belle feuille blanche. Tu es perdu dans tes pensées. Tu penses au passé, au présent et au futur. Tu repenses à la demoiselle de ton enfance, celle qui t’a fait porter un collier pendant de nombreuses années… Tu l’aimais ? Certainement. Tu te souviens de nombreux souvenirs avec Taiga. Étais-tu amoureux de lui ?! Impossible. Il n’était qu’un ami proche, spécial, de longues dates, d’enfance. En vérité, il était tout à tes yeux. Tu repenses à ta première rencontre avec ta fleur favorite. Elle a tout de suite piqué ta curiosité. Elle était différente des autres, elle n’était pas un objectif. Elle n’était pas un trophée. Elle n’était pas un challenge ou un caprice. Elle a réussi à te rappeler l’ancien Aoi, celui qui sait faire preuve de bonté, d’amour et d’autres qualités qui étaient enfuis à l’intérieur de ton corps. Bordel, tu l’aimes sincèrement, c’est adorable.
Tu sors de tes pensées lorsque vous trouvez un petit spot sympathique. Il est isolé. Tes yeux dorés sont rivés sur ta petite amie. Elle regarde l’horizon. Tu regardes à présent l’horizon. Il n’y a rien de plus beau que deux personnes s’aimant regardant dans la même direction. Ton cœur palpite. Il t’indique à quel point cet instant est précieux. Un souvenir commun. Elle te regarde. Tu sens ses yeux sur toi. Tu sais à quoi elle pense. Elle veut se baigner. Tu ne lui pas proposé une balade en bord de mer pour rester les pieds dans le sable sec. Tu souris en regardant la mer. L’adrénaline commence à grimper à l’intérieur de toi alors que tes yeux dérivent sur la brune. Yeux dans les yeux, tu as un sourire assez malicieux.
« On va se baigner ?! » Défis ! Soudainement, tu te lèves en commençant à courir à toute vitesse vers l’eau. Tu t’arrêtes afin de retirer ton short ainsi que ton téléphone. Puis, tu tournes ton corps vers ta bien-aimée. Tu commences doucement à retirer ton tee-shirt afin de laisser apparaître ton corps musclé. Tu es un athlète avec un corps de rêve. Toutes les filles (et tous les hommes) rêvent d’être ton petit ami, ton plan cul. Tu es un fantasme mon grand. Belle gueule. Séducteur. Qui pourrait sérieusement te dire non ? Personne. « Hime ! Dépêche-toi ! Déshabille-toi ! » Tu rigoles. Tu souris. Tu es un véritable gamin quand tu t’y mets. Tu es inconscient et irresponsable à cet instant précis. Tu profites de la vie à fond. Tu te retournes, tu cours à fond vers l’eau salé en criant. Mon dieu, on ne t’arrête plus. Tes pieds touchent le sable mouillé avant d’atterrir dans l’eau. Tes jambes ressentent la fraîcheur du liquide bleu se trouvant autour de toi. Une seconde plus tard, tu plonges à l’eau en criant à nouveau. Un bruit de joie ! Plouf ! Fou, tu l’es certainement un peu sur les bords. Tu ressors la tête de l’eau. Ton regard cherche celui de ton âme-sœur. Où est-elle ? Tu la vois. Tu souris avec enthousiasme qu’on peut y voir tes belles dents blanches. « Elle est fraîche !!! Rejoins-moi ! » Tu hurles de bonheur. Tu rigoles. C’est agréable de te voir aussi joyeux et avec autant d’énergie. Tu commences à taper l’eau de ta main afin d’éclabousser ce qui t’entoure. Vous êtes seuls dans votre petit cocon. Respire.
Tu respires en replaçant tes cheveux. L’adrénaline redescend, tes yeux se posent sur la femme qui fait battre ton cœur plus vite ou plus doucement en fonction de la situation. Le soleil est au plus bas. Les couleurs, ce soir, sont magnifiques. Silencieux. Tu la regardes amoureusement. Mordillement de lèvre. Tu veux plus, beaucoup plus… Tu veux la voir se dénuder. Tu veux la voir nue et mouillée. Tu veux la prendre dans tes bras, la papouiller, la caresser, la chérir. L’embrasser encore et encore afin de lui montrer à quel point tu l’aimes et que tu la désires. C’est le terme exact mon cher, car tu commences à être particulièrement excité. Tu l’attends. Tu t’approches petit à petit de l’être aimé afin de lui offrir ton cœur, ton âme, ton corps. Tout, elle peut tout prendre toi, car elle a réussi à voler ton cœur. Et toi, Aoi ? Tu vas simplement la dévorer. Démon.